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Récupération de l'identifiant auto-incrémenté du dernier enregistrement inséré dans une base de données Access

Avec ASP & Delphi 6 Entreprise

Ce tutoriel propose une méthode 100 % SQL pour récupérer l'index (autoincrémenté) du dernier élément inséré dans une base Access. Exemples en ASP et en Delphi 6. Ce tutoriel s'adresse plus particulièrement aux novices.

Les tests et captures d'écran ont été faits avec Microsoft Access 2000 et SQL Server 2000. Mais le principe est valable pour les nouvelles versions.

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I. Introduction

Tous ceux qui ont déjà piloté une base Access sous ASP se sont heurtés au problème de la récupération de l'index d'un enregistrement que l'on vient d'insérer. Cet article propose une méthode fiable pour traiter le problème. Nous verrons comment programmer cette méthode, en ASP et sous Delphi 6 Entreprise.

II. Présentation du problème

II-A. Notre base Access

Soit une base Access, avec une table nommée PERSONNE.

La déclaration SQL de la table est la suivante :

 
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CREATE TABLE PERSONNE (
      ID_PERSONNE COUNTER CONSTRAINT MyFieldConstraint PRIMARY KEY,
      NOM VARCHAR(100),
      PRENOM VARCHAR(50),
      EMAIL VARCHAR(200),
      AGE INT
);

La déclaration varie d'un SGBD à l'autre. Cette syntaxe est adaptée à celle du SQL utilisé par Access.

ID_PERSONNE est un index auto-incrémenté : chaque fois que vous ajoutez un enregistrement à la table, sa valeur est générée automatiquement par la base.

La commande SQL suivante :

 
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INSERT INTO
   PERSONNE(NOM,PRENOM,EMAIL,AGE)
   VALUES('DUPONT', 'Bernard', 'b.dupont@developpez.com', 35);

ajoute l'enregistrement dans la table :

ID_PERSONNE

NOM

PRENOM

EMAIL

AGE

1454

'JACKSON'

'Samuel Leroy'

'slj@hotmail.com'

53

455

'THURMAN'

'Uma'

'ut@freemail.com'

31

1456

'DUPONT'

'Bernard'

'b.dupont@developpez.com'

35

II-B. Récupérer l'index sous différents SGBD

II-B-1. MySQL & PHP

Une fonction PHP permet de récupérer l'index du dernier élément inséré :

(int) mysql_insert_id()

II-B-2. Interbase

Sylvain James et Kloo ont proposé deux méthodes :

  1. Génération de la valeur de l'index par un trigger et un générateur, puis récupération par une procédure stockée ;
  2. Utilisation d'un composant, IBGen.

Référence : article sur www.developpez.com

II-B-3. SQL Server 2000

La fonction IDENT_CURRENT('Nom de la table') retourne l'index.

II-B-4. SQL Server (avant 2000)

La valeur du dernier index est contenue dans une colonne appelée @@IDENTITY. Il est préférable de procéder à l'INSERT dans une procédure stockée et d'y récupérer la valeur de @@IDENTITY.

II-B-5. Access

Il existe plusieurs façons de procéder. Nous allons en détailler quelques-unes dans le chapitre suivant.

III. Récupération de l'index de l'enregistrement nouvellement créé

Il existe plusieurs méthodes pour récupérer l'index. Nous allons en détailler trois :

  • la première est incomplète, car elle ne gère pas les accès concurrents ;
  • la deuxième semble correcte, elle se base sur l'objet recordset de ADO, mais est-elle fiable lors d'une montée en charge du serveur ?
  • la troisième est la bonne, car elle est 100 % SQL et ne dépend pas du SGBD.

III-A. La mauvaise méthode

C'est la méthode bricolage que trouvera rapidement le débutant. L'enregistrement inséré se retrouve forcément à la fin de la table. Pour le sélectionner, il suffit alors de trier les enregistrements par ordre d'index décroissant :

 
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SELECT * 
FROM PERSONNE 
ORDER BY ID_PERSONNE DESC;

Cette méthode est barbare, car elle suppose qu'il n'y a qu'un seul utilisateur connecté simultanément à la base. Elle ne gère pas les accès concurrents.

Prenons l'exemple d'un site marchand, deux utilisateurs créent en même temps un caddie :

instant

utilisateur 1

utilisateur 2

T

Création du caddie

---

T+1

Récupération de l'index
du dernier enregistrement

Création du caddie

T+2

---

Récupération de l'index
du dernier enregistrement

instant T + 1 : l'utilisateur 1 récupère le caddie du 2e utilisateur.

instant T + 2 : l'utilisateur 2 récupère son propre caddie.

conséquences : l'utilisateur 2 verra son caddie s'enrichir spontanément en fonction des choix de l'utilisateur 1 et réciproquement !

Cette méthode barbare est à proscrire. Le chapitre qui suit expose une méthode qui tient compte des accès concurrents.

III-B. Une méthode infaillible ?

Cette méthode est standard. Elle s'appuie sur l'utilisation de l'objet ADO recordset. Elle fonctionne convenablement, mais je pense qu'elle est susceptible de générer des surprises lors d'une montée en charge du serveur et d'écraser des index. Je la présente pour information.

  1. Ouverture de la connexion ADO :

     
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    set objCon = Server.CreateObject("ADODB.Connection")
    objCon.ConnectionString ="base_tutorial"
    objCon.Open
    
  2. Création d'un objet recordset :

     
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    set rs1 = Server.CreateObject("ADODB.Recordset")
     rs1.Open "SELECT * FROM PERSONNE",objCon, adOpenKetset, adLockOptimistic
     rs1.addNew
    
  3. Affectation et mise à jour :
 
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rs1("NOM")='Dupont'
rs1.update
rs1.Close

III-C. La bonne méthode : 100 % SQL

III-C-1. Explication

Nous n'avons pas de contrôle sur la façon dont est généré l'enregistrement. Qu'importe, nous forcerons le destin :) .

Deux requêtes d'insertion ne sont pas distinguables lorsque l'on insère deux enregistrements identiques. Nous allons ajouter le grain de sable qui permettra d'identifier notre enregistrement, sans possibilité d'erreur.

La ligne d'insertion SQL va subir une modification. Nous ne renseignerons pas tous les champs. Nous nous en réservons un pour permettre l'identification.

Nous choisissons le champ AGE.

Nous verrons juste après (en B.3.2) une variante plus rigoureuse. L'exemple est ici volontairement trivial.

Ébauche de la méthode :

Si nous affectons de façon temporaire un AGE de 5000 ans à une personne, nous sommes certains (quasi) que cet âge ne figure pas dans la table. Cette condition est nécessaire, mais pas suffisante, car il réside un risque de doublon, notamment dans le cas d'accès concurrents en création (cf. paragraphe précédent).

Le bon choix :

Le principe est bon, nous allons le raffermir :

Sélectionnons la valeur maximale de AGE dans la table.

Nomenclature : les variables du langage (ASP, Delphi) qui serviront à construire les requêtes SQL sont notées en rouge.

 
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SELECT MAX(AGE) AS max
   FROM PERSONNE

Nous plaçons max dans une variable : M

Créons un nombre aléatoire supérieur à M :

R = Nombre_aleatoire (compris entre 1 et 100 000) + M

Insérons l'enregistrement, avec R à la place de AGE :

 
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INSERT INTO
   PERSONNE(NOM,PRENOM,EMAIL,AGE)
   VALUES('DUPONT', 'Bernard', 'b.dupont@developpez.com', R);

Notez que la probabilité de trouver un enregistrement identique issu d'un accès concurrent en écriture au même instant est pratiquement nulle.

Nous récupérons notre enregistrement :

 
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SELECT ID_PERSONNE
   FROM PERSONNE
   WHERE AGE=M;

Plaçons la valeur de l'index dans une variable ID, et mettons à jour la valeur de AGE :

 
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UPDATE PERSONNE
   SET AGE=35
   WHERE ID_PERSONNE=ID;

C'est tout !

III-C-2. Deux variantes encore plus fiables

L'exemple précédent s'appuyait sur une table minimaliste. Voici deux variantes qui réduiront encore la probabilité d'erreur d'indexation lors d'accès concurrents simultanés en écriture.

III-C-2-a. Variante basée sur un champ numérique

Considérons une deuxième table, SOCIETE :

 
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CREATE TABLE SOCIETE (
      ID_SOCIETE COUNTER CONSTRAINT MyFieldConstraint PRIMARY KEY,
      . . .
      . . .
);

Chaque individu est dans une seule société. Nous ajoutons un nouveau champ dans notre table PERSONNE : SOCIETE_ID (INTEGER). C'est une référence à l'index de la table SOCIETE.

Attention : il ne s'agit pas d'une clef étrangère, mais d'une simple référence d'index via un champ entier.

Puisque ce n'est pas une clef étrangère, la base n'effectue pas de contrôle d'intégrité des références. Nous pouvons affecter temporairement n'importe quelle valeur à SOCIETE_ID.

Voici un système plus fiable que pour AGE :

 
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SELECT MAX(ID_SOCIETE) AS max
   FROM SOCIETE

Nous plaçons max dans une variable : M, et créons un nombre aléatoire supérieur à M :

R = Nombre_aleatoire (compris entre 1 et 100 000) + M + 100

Il ne reste plus qu'à appliquer la méthode précédente.

III-C-2-b. Variante basée sur un champ alphanumérique

Remplacez, au moment de la première insertion, NOM par la chaine suivante :

N = [ADRESSE IP DU CLIENT ou ID de session] + [HEURE SYSTEME] + [CHAINE ALPHANUMERIQUE ALEATOIRE d'une dizaine de caractères]

Vous êtes certain de l'unicité de la valeur de NOM dans la table au moment où vous effectuerez le SELECT qui suit l'INSERT :

 
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SELECT ID_PERSONNE
FROM PERSONNE
WHERE NOM=N;

III-C-3. Optimisation en vitesse

Sur une grande table, vous pouvez placer une clef secondaire sur le champ AGE pour accélérer la recherche.

III-D. Débat sur la fiabilité des méthodes

III-D-1. La maîtrise des contraintes de son environnement

Il y aura toujours des détracteurs pour critiquer le choix de telle ou telle méthode. Il faut analyser le problème à la source. Le choix du SGBD est-il en adéquation avec les performances escomptées de la base ? Combien y aura-t-il d'accès concurrents simultanés ? Si vous avez décidé de travailler avec une base Access, c'est parce que les exigences de votre environnement ne sont pas très élevées, sinon, optez pour SQL Server, Interbase, MySQL, Oracle, etc.

III-D-2. Solution ISAPI avec Delphi 6

Il n'existe pas d'équivalent sous ASP.

Il est possible de protéger les accès concurrents les uns des autres dans un environnement ISAPI Delphi 6 en utilisant une section critique, à placer avant implémentation :

 
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var
  FLock: TCriticalSection;

À la fin du code, insérer avant le end. :

 
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initialization
   if not Assigned(fLock) then
      fLock := TCriticalSection.Create;
finalization
   fLock.Free;

Pour exécuter le code dans la section critique :

 
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try
    FLock.Enter;
{ 
  INSERTION DE L'ENREGISTREMENT
}
  finally
    FLock.Release;
  end;

IV. Exemples

La création de la base Access est détaillée en annexe Annexe.

IV-A. Exemple en ASP

Les variables suivantes contiennent les informations du nouvel enregistrement :

nom = « DUPONT »;

prenom = « Bernard »;

email = « b.dupont@developpez.com »;

age = 35;

Lors du premier INSERT, on appelle la fonction filtre :

 
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Function filtre(s)
   filtre = replace(s,"'","''")
end Function

Son rôle est de doubler les caractères quote ' dans les lignes de commandes SQL.

  1. Ouverture de la connexion ADO :

     
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    set objCon = Server.CreateObject("ADODB.Connection")
    objCon.ConnectionString ="base_tutorial"
    objCon.Open
    
  2. Création d'un objet recordset :
    set rs1 = Server.CreateObject("ADODB.Recordset")

  3. Nous récupérons la valeur maximale de AGE. Nous ne récupérons pas directement la valeur de MAX(AGE), car il n'y a pas de valeur retournée dans le cas d'une table vide. Nous prenons la précaution de vérifier si la table contient des enregistrements.

     
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    rs1.Open "SELECT COUNT(*) AS recordcount FROM PERSONNE", objCon
        if rs1("recordcount") = 0 then
            m = 0
        else
            rs1.Close
            rs1.Open "SELECT MAX(AGE) AS max FROM PERSONNE", objCon
            m = rs1("max")
        end if
        rs1.Close
    

    La variable m contient la valeur maximale de AGE.

  4. Nous générons la valeur aléatoire r :
    r = Int(Rnd * 100000) + m

  5. Nous insérons l'enregistrement, avec r à la place de AGE :

     
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    objCon.Execute("INSERT INTO PERSONNE(NOM,PRENOM,EMAIL,AGE) VALUES('" & filtre(nom) & "', '" & filtre(prenom) & "', '" & filtre(email) & "', " & m & ");")
    
  6. Nous récupérons l'index ID_PERSONNE :

     
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    rs1.Open "SELECT ID_PERSONNE FROM PERSONNE WHERE AGE=" & r, objCon
    ID = rs1("ID_PERSONNE")
    rs1.Close
    

    ID contient la valeur de l'index inséré.

  7. Nous mettons à jour l'enregistrement avec la bonne valeur affectée à AGE :

     
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    objCon.Execute("UPDATE PERSONNE SET AGE=" & age & " WHERE ID_PERSONNE=" & ID)
    
  8. Fermeture de la connexion ADO.
 
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objCon.Close
    Set objCon = nothing

IV-B. Exemple en Delphi 6 Entreprise

Le programme suivant a été réduit au maximum afin de ne présenter que du code utile à notre démonstration.
Télécharger la source. Pour créer la base Access et la liaison DSN, reportez-vous à l'annexe Annexe.

Il contient une fiche :

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Et un DataModule :

Image non disponible

Propriétés des composants du DataModule :

  1. DataSource1 : TDataSource;
    DataSet := ADOQuery1;
  2. ADOConnection1 : TADOConnection;
    ConnectionString := 'base_tutorial';
    LoginPrompt := false;

    puis ADOConnection1.Connected := true;

Fonctionnement :

Le clic sur le bouton Insérer provoque l'ajout de l'enregistrement dans la base.

Section critique :

N'oubliez pas que vous pouvez compléter le code avec une section critique cf. III-D-2Solution ISAPI avec Delphi 6

Source :

 
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105.
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unit UMain;

interface

uses
  Windows, Messages, SysUtils, Variants, Classes, Graphics, Controls, Forms,
  Dialogs, StdCtrls;

type
  TFMain = class(TForm)
    Button1: TButton;
    EdNom: TEdit;
    EdPrenom: TEdit;
    EdEmail: TEdit;
    EdAge: TEdit;
    Label1: TLabel;
    Label2: TLabel;
    Label3: TLabel;
    Label4: TLabel;
    GroupBox1: TGroupBox;
    GroupBox2: TGroupBox;
    LabID: TLabel;
    procedure Button1Click(Sender: TObject);
  private
    { Déclarations privées }
    function filtre(s:string):string;
  public
    { Déclarations publiques }
  end;

var
  FMain: TFMain;

implementation
uses UDataModule1;
{$R *.dfm}

function TFMain.filtre(s:string):string;
begin
  stringreplace(s,'''','''''',[rfReplaceAll]);
end;

procedure TFMain.Button1Click(Sender: TObject);
var
  M : integer;
  SqlQuery : string;
  R,ID : cardinal;
  nom,prenom,email : string;
  age : integer;
begin
  nom := EdNom.text;
  prenom := EdPrenom.text;
  email := EdEmail.text;
  age := StrToInt(EdAge.text);

  with DataModule1.ADOQuery1 do begin
  Close;
  SQL.Clear;
  try
    SqlQuery := 'SELECT COUNT(*) AS recordcount FROM PERSONNE';
    SQL.Add(SqlQuery);
    Open;
    if FieldValues['recordcount'] = 0 then
      M := 0
    else begin
      Close;
      SQL.Clear;
      SqlQuery := 'SELECT MAX(AGE) AS max FROM PERSONNE';
      SQL.Add(SqlQuery);
      Open;
      M := FieldValues['max'];
    end;

    randomize;
    R := Random(100000) + 1 + M;
    Close;
    SQL.Clear;
    SqlQuery := 'INSERT INTO PERSONNE(NOM,PRENOM,EMAIL,AGE) '
      + 'VALUES(''' + filtre(nom) + ''', ''' + filtre(prenom) + ''', '''
      + filtre(email) + ''', ' + IntToStr(R) + ');';
    SQL.Add(SqlQuery);
    ExecSQL;

    Close;
    SQL.Clear;
    SqlQuery := 'SELECT ID_PERSONNE FROM PERSONNE WHERE AGE=' + IntToStr(R);
    SQL.Add(SqlQuery);
    Open;
    ID := FieldValues['ID_PERSONNE'];
    LabID.Caption := IntToStr(ID);

    Close;
    SQL.Clear;
    SqlQuery := 'UPDATE PERSONNE SET AGE=' + IntToStr(age)
      + ' WHERE ID_PERSONNE=' + IntToStr(ID);
    SQL.Add(SqlQuery);
    ExecSQL;

    except
      on E:Exception do
        ShowMessage(SqlQuery + #13 + E.Message);
    end;
  end;
end;

end.

V. Annexe

V-A. Créer la base Access

Rappel : soit une base Access, avec une table nommée PERSONNE.

La déclaration SQL de la table est la suivante :

 
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CREATE TABLE PERSONNE (
      ID_PERSONNE COUNTER CONSTRAINT MyFieldConstraint PRIMARY KEY,
      NOM VARCHAR(100),
      PRENOM VARCHAR(50),
      EMAIL VARCHAR(200),
      AGE INT
   );

Pour créer une nouvelle base, ouvrir Access, choisir la création d'une nouvelle base de données :

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Il y a deux façons de créer une table. À la main, ou par une requête.

  1. Créer une table à la main
    Cliquez sur le bouton Nouveau :

    Image non disponible

    Remplissez les champs de la façon suivante :

    ID_PERSONNE : NuméroAuto, Entier long, Incrément, indexé sans doublons
    NOM : Texte, taille 100, non indexé
    PRENOM : Texte, taille 50, non indexé
    EMAIL : Texte, taille 200, non indexé
    AGE : Entier long, non indexé

    Image non disponible

  2. Créer une table avec une requête SQL

Onglet Requête :

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  1. Cliquez sur le bouton Nouveau. Deux fenêtres apparaissent.
  2. Fermer la fenêtre « Ajouter une table ».
  3. Dans la fenêtre :« Requête : Requête Sélection », bouton droit, menu contextuel, premier choix : « Mode SQL ».
  4. Dans la fenêtre texte, copier / coller la requête (cf. D.1).
  5. Fermer la fenêtre, confirmer son enregistrement, et la nommer.
  6. Double-cliquer sur cette nouvelle requête pour exécuter le code SQL.

V-B. Créer une liaison DSN

Notre base Access s'appelle base_test.mdb, elle est située dans le répertoire : C:\base_tutorial. Il faut référencer cette base dans les liaisons DSN du système, pour pouvoir y accéder via ASP ou ADO.

V-B-1. Ouvrir le gestionnaire ODBC

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OS

chemin

Windows 95/98/NT

Panneau de configuration / ODBC

Windows 2000

Panneau de configuration / Outils d'administration / Sources de données (ODBC)

V-B-2. Créer une nouvelle source ODBC

Onglet sources de données système, bouton ajouter :

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Choisissez le driver Access :

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Donnez un nom à votre source ODBC « base_tutorial » et renseignez son chemin :

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La liaison DSN sur votre base est créée !

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V-C. Crédits

Article écrit par Olivier Népomiachty, © janvier 2002
e-mail :
Site Internet Delphi : en construction…

V-D. L'auteur

Olivier Nepomiachty est le responsable technique historique de developpez.com.

  • 2001 à 2005 : responsabilité de l'architecture ainsi que l'exploitation des serveurs GNU/Linux.
  • Actuellement évangéliste CRM et speaker à SugarCRM.
  • Précédemment 11/2008-2/2012 Technical Architect à Salesforce.com.

LinkedIn : http://www.linkedin.com/in/oliviernepomiachty

Blog #1 : Tortuga CRM (in English)

Blog #2 : Training for Spartathlon (in English)

Twitter : TortugaCrm

Webcasts series
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CRM Made Simple: why SugarCRM is the better choice compared to Salesforce.com?
In today's competition every company needs a CRM to grow and secure its business. But comparing CRM vendors solutions is a tough nut to crack if you are not a CRM expert. This webcast will help you understand why SugarCRM is a better choice than Salesforce. If you are choosing your first CRM solution, thinking about making a swap or just curious, you should attend this presentation.
Webcast Emea - in English
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6 am PT / 14:00 GMT / 15:00 CET
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Webcast North America - in English
Date & Time:
Wed, May 16 2012
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Duration: 1 hr
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CRM Made Simple : pourquoi choisir SugarCRM plutôt que Salesforce.com ?
Dans un climat où la compétition fait rage, chaque entreprise doit se doter d'un CRM pour assurer sa croissance et sécuriser son activité. La comparaison des différentes solutions CRM est un véritable casse-tête lorsque l'on n'est pas expert dans le domaine. Ce webcast vous aidera à comprendre pourquoi SugarCRM est un meilleur choix que Salesforce. Que vous soyez en cours d'identification de votre première solution CRM, pensez à changer de CRM ou tout simplement par curiosité, cette présentation est faite pour vous.
Webcast Emea - en français
Date & heure :
Vendredi 11 mai 2012
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Solutions Linux
Conférence technique sur le thème :« Vendre en Open Source : du CRM au E-Commerce ».
Un CRM au cœur de votre activité
Jeudi 21 juin 2012 à 11h/11:40, salle Miro.

Conférences passées

Cloudforce Paris 2011

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Conférence : Heroku
Le « Platform as a service » (Paas) transforme notre façon de développer et déployer des applications. Oubliez les serveurs et concentrez-vous sur le code. Lors de cette session, nous vous montrerons comment vous pouvez utiliser Heroku pour construire, déployer, gérer des applications élastiques web, mobiles, sociales ou d'entreprise écrites en Ruby. Ensuite, nous explorerons les concepts et philosophies du Platform as a service, et ce qui en fait un élément essentiel du Cloud Computing.
Heroku est une société californienne, rachetée par Salesforce en décembre 2010, qui propose une plateforme multitenante permettant d'exécuter des applications Ruby on Rails.

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Jeudi 18 novembre 2004
Forum de l'Afup 2004 : cette session présente la cartographie des acteurs majeurs dans le domaine des CMS Open Source écrits en PHP :

  • SPIP
  • SPIP Agora
  • Typo3
  • eZpublish

Une étude comparative expose les avantages et inconvénients de ces différentes solutions.
Pour conclure, une comparaison avec les solutions éditeur infrastructures et intégrées permet d'apprécier la maturité des solutions Open Source dans ce domaine.

Télécharger le support de la conférence : Olivier_NEPOMIACHTY_cms_PHP.pdf

Les articles sur DVP
Les articles ci-dessous sont anciens (février 2004 pour le plus récent) et ne reflètent plus mon activité professionnelle.
Merci de consulter mon blog Tortuga CRM.

Extraction de données sur un site Internet avec PHP, MySQL, XML, cURL et socket sous PHP.

Installer et configurer un serveur Linux initiation à Red Hat et installation/mise en service de MySQL, Apache, PHP, PhpMyAdmin, Perl, Kylix et Interbase.

Récupération de l'identifiant auto-incrémenté du dernier enregistrement inséré dans une base Access avec ASP & Delphi 6 Entreprise.

Démarrer avec Proxy Plus (partagez une connexion Internet entre différentes machines) avec exemple Internet « Connexion à une base de données Internet via un port mappé sous Delphi & Kylix ».

Interviews passées

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3 février 2005
interview (citations), dossier Economie.net : « Logiciel libre, la nouvelle effervescence des bases de données »

Image non disponible28 janvier 2005, n°1055
interview (citations), dossier « Poste de travail sous Linux »

12 novembre 2004, n°1046
interview (citations), dossier « Les collectivités à l'avant-garde de l'Open Source »

Ultra runner

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Je suis ultramarathonien, deux fois finisher du Grand Raid du Morbihan (08 & 09), course de 177 km à allure libre en temps limité.

VI. Remerciements

et Alphomega pour avoir relu cet article,
JJM pour la méthode utilisant la section critique sous Delphi.

VII. Remerciements Developpez.com

Nous tenons à remercier f-leb pour la relecture orthographique, et Malick SECK pour la mise au gabarit.

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